La population asiatique a triplé depuis 1950 passant de 1,5 à 4,3 milliards de personnes. Cela correspond à environ 60 % de la population mondiale. En 2050, il y aura plus de 5 milliard d’asiatiques.
En 1950, la part de l’Asie dans la performance économique globale était de 18 %. Aujourd’hui, ce chiffre est de 35 % et, en 2050, il s’élèvera même à 52 %. En 2050, la Chine et l’Inde seront les premières puissances économiques mondiales.
L’Asie se heurte aux limites de ses possibilités en termes d’infrastructures et doit planifier d’urgence ses besoins d’aménagement.
Jusqu’à présent, les projets d’infrastructure étaient financés par l’état ou par des banques nationales, souvent contrôlées par les états.
Toutefois, ce modèle de financement n’est plus tenable face au développement attendu pour les prochaines années.
De nombreux gouvernements asiatiques ont mis en place les conditions légales nécessaires pour attirer en particulier les investisseurs privés internationaux dans leurs pays respectifs.
En plus des bénéfices incontestables en termes de pouvoir d’achat, des avantages sur le plan écologique, social et au vu du besoin d’amélioration des infrastructures rudimentaires, il est incontestable qu’il vaut mieux opter pour cette stratégie et ces lieux d’investissements.